Chaque fin d’année, un moment particulier survient à l’Église La Porte du Bénin, un événement qui marque les esprits et resserre les liens au sein du ministère des Femmes Brillantes : le fameux jeu des amis invisibles. Mais derrière cet échange de cadeaux, loin de se limiter à une simple tradition festive, se cache un véritable secret, celui de la force, de l’unité et de la longévité de ce groupe exceptionnel de femmes. Au fil des années, ce jeu s’est transformé en un rituel, un moment où la générosité et la fraternité s’entrelacent pour nourrir des relations solides, empreintes de bienveillance et de solidarité.
Imaginez la scène : un groupe de femmes, souriantes, impatientes et pleines d’enthousiasme, prêtes à découvrir les cadeaux offerts par leurs “amis invisibles”. Ce jeu, bien connu pour son côté ludique et sympathique, n’a de simple que l’apparence. Car au fond, il s’agit d’un acte de pure générosité, où l’anonymat devient un moyen d’offrir sans attente, de partager sans condition.
Les femmes de l’Église La Porte savent que, bien au-delà du cadeau matériel, c’est le geste, l’intention, qui compte. Chaque présent est une manière de renforcer l’unité du groupe, de rappeler que la communauté est plus importante que l’individu et que l’amour de Dieu s’exprime dans ces moments de partage.
Ce jeu annuel n’est pas seulement un prétexte pour se retrouver, mais un véritable ciment qui lie chaque membre du ministère des Femmes Brillantes. En effet, cette tradition récurrente a une force qui dépasse les simples souvenirs d’une soirée festive.
Elle représente le cœur de ce qui fait la solidité de ce ministère : la constance, l’esprit de solidarité et de fraternité qui se nourrissent de l’engagement et de la sincérité de chaque femme impliquée. Les années passent, les défis se succèdent, mais la communauté des Femmes Brillantes demeure intacte, grâce à des gestes simples mais puissants, comme celui du jeu des amis invisibles.
Le secret de cette longévité ? Ce n’est pas simplement un jeu, mais une manifestation de la capacité de chaque femme à se soutenir, à se réjouir du bonheur de l’autre, à célébrer ensemble dans l’unité. Au-delà des sourires échangés autour des cadeaux, ce sont des valeurs de solidarité, de foi et d’amour chrétien qui se diffusent à chaque édition du jeu.
Loin d’être une simple activité occasionnelle, le jeu des amis invisibles incarne une culture d’entraide et de partage, un véritable socle qui permet aux femmes de s’épanouir ensemble dans un esprit d’amour et de confiance mutuelle.
Le ministère des Femmes Brillantes de l’Église La Porte du Bénin n’a pas seulement survécu aux années ; il a grandi, mûri et s’est profondément enraciné dans l’âme de l’Église.
Ce jeu, loin d’être anodin, en est un des symboles les plus forts. Il témoigne de cette capacité unique à évoluer sans se dénaturer, à transmettre une culture de la solidarité chrétienne aux générations futures, tout en restant fidèle à ses valeurs de simplicité, de générosité et d’amour fraternel.
Ce moment de Noël, où chaque femme reçoit un cadeau, n’est qu’une facette d’un engagement plus profond : celui de se tenir unies, prêtes à surmonter les obstacles et à grandir ensemble dans la foi.
Le secret des Femmes Brillantes ? C’est cette capacité à s’investir dans des gestes quotidiens, aussi simples qu’ils soient, pour nourrir l’unité du groupe. Le jeu des amis invisibles est un exemple parmi d’autres de cette solidarité. C’est une tradition qui va au-delà du matériel : c’est un symbole d’unité, de générosité et d’amour véritable, qui façonne et pérennise ce ministère, année après année.
En somme, ce jeu n’est pas seulement une simple tradition de Noël. C’est le cœur même de l’identité des Femmes Brillantes de l’Église La Porte du Bénin. À travers ce geste simple mais puissant, elles expriment leur foi, leur solidarité et leur amour, tout en construisant une fraternité inébranlable qui rayonne bien au-delà de leurs cercles immédiats. Alors, oui, peut-être que le secret de cette longévité et de cette force réside dans ces moments partagés, dans cette générosité sans retour, et dans ce lien invisible qui unit ces femmes autour d’une mission commune : bâtir ensemble une Église vivante et fraternelle.